Melaka (Malacca) saw many conquerors through its history, due to its strategic location. The local sultans had to fight the Siamese, Chinese, Vietnamese before losing to the Portuguese in 1511. Churches and a fort were built but the Dutch took control of the city in 1641. They changed the faith of the church on the hill before building a new one in town. A new city hall was also erected and is still called Stadthuys. Melaka was ceded to the British in 1824 who destroyed the Portuguese fort and used the old church as an ammunition storage.
Melaka has varied cultures, also found in Singapore but not so much in the rest of Malaysia: the Baba-Nonya (Chinese-Malay inter-marriages), Chitty (Tamil Indian/Malay) as well as Portuguese/Malay descendants, who often bear Portuguese surnames and speak Creole.
Because of its proximity to both Kuala Lumpur and Singapore, Melaka gets really crowded on week-ends and it is better to go there mid-week.
De par sa situation stratégique, Melaka a subi de nombreuses invasions. Les sultans locaux ont dû se battre contre les Thaïs, Chinois et Vietnamiens avant de s’incliner devant les Portugais en 1511. Des églises et un fort furent construits, puis les Néerlandais saisirent la ville en 1641. Les églises devinrent protestantes et un hôtel de ville fut construit, toujours nommé “stadthuys”. La ville fut ensuite cédée aux Britanniques, qui détruisirent le fort et transformèrent l’ancienne église en arsenal.
Melaka abrite des cultures différentes, également présentes à Singapour mais moins dans le reste de la Malaisie. Ainsi, les Babas-Nonyas (Chinois/Malais), les Chitty (Tamils/Malais) et les descendants eurasiens (Portugais/Malais) qui portent des noms de famille lusitaniens et parlent créole.
A cause de sa proximité avec Kuala Lumpur et Singapour, Melaka est très populaire les week-ends et il vaut mieux visiter la ville en semaine.
Ipoh is Malaysia’s third city and was a prosperous centre of tin mining. However, following the depletion of its tin deposits and the collapse of tin prices in the 1970s, the city suffered decades of decline and neglect.
In recent years, Ipoh’s popularity as a tourist destination has been significantly boosted by efforts to conserve its British colonial-era architecture. The city is also promoting street artists and, among others, Lithuanian-born, Penang-based Ernest Zacharevic was commissioned by Old Town White Coffee owner to paint 7 murals in the city.
Ipoh est la troisième ville de Malaisie et fut un prospère centre de mines d’étain. Après la raréfaction de ses réserves et la baisse du prix de l’étain dans les années 70, la ville connut un déclin marqué pendant des décennies.
Récemment, sa popularité en tant que destination touristique a grandi avec ses efforts de mettre en valeur son héritage colonial britannique. La ville a aussi encouragé les artistes de rue et l’artiste lithuanien Ernest Zacharevic, très connu pour ses fresques à Penang, a été engagé par le propriétsire de l’Old Town Coffee pour en peindre 7 à Ipoh.