Endless boulders

We woke up to another sunny day, so we were on our way to the next hut, a privately-run one, a new experience for us.

We very quickly entered Rondane national park and the first part of the hike, up very gently then down into another valley, was quite alike to yesterday, minus the snow. The sound of many cuckoos accompanied us for about two hours, we could still hear them above the tree line. Again, the land was boggy and slowed us down a lot. 

We crossed a couple of people who mentioned walking through some challenging terrain but seemed in a hurry to get going as clouds had started to appear. 

From the bottom of the valley, it was a steeper climb and it became more mineral. We rested at the top before tackling steep(ish) snow fields and boulders.

Now, we have often crossed boulder fields and they are usually at most a couple of hundred metres. This one seemed endless, it was a rolling pass and after 1.8 km of it, we still could not see its end. It was tough, especially after a 5-hour walk.  Dark clouds had appeared and we hoped we would make it to the hut before the rain. We did – and we got a glimpse of the surrounding mountains before the fog and rain swallowed them.

Interminables rochers

Nous nous sommes réveillés sous une nouvelle journée ensoleillée et nous sommes mis en route vers la prochaine cabane, privée celle-ci, une nouvelle expérience pour nous. 

Nous sommes très rapidement entrés dans le parc national de Rondane et la première partie de la randonnée, une douce montée suivie d’une descente dans une autre vallée, était assez similaire à hier, sans la neige. Le bruit de nombreux coucous nous a accompagnés pendant environ deux heures, nous les entendions encore au-dessus de la limite des arbres. A nouveau, le terrain était marécageux et nous a beaucoup ralentis.

Nous avons croisé quelques personnes qui ont mentionné avoir marché sur un terrain difficile, mais qui semblaient pressées de partir car les nuages avaient commencé à apparaître. 

Du bas de la vallée, la montée était plus raide et le paysage plus minéral. Nous nous sommes reposés au sommet avant de nous attaquer à des champs de neige escarpés et à des rochers.

Nous avons souvent traversé des champs de rochers et ils durent généralement au plus quelques centaines de mètres. Celui-ci semblait interminable, c’était un col ondulant et après 1,8 km, nous ne pouvions toujours pas voir sa fin.  Une traversée rude, surtout après 5 heures dans les jambes. Des nuages sombres étaient apparus et nous espérions arriver à la cabane avant la pluie. Nous l’avons fait – et nous avons eu un aperçu des montagnes environnantes avant que le brouillard et la pluie ne les engloutissent.

First national park and first manned hut

There was no rain in Dombås. We started our hike at the lovely old train station of Hjerkinn, a 30-minute ride away. The first hour’s walk was, again, through marshes so we had wet feet but the sun shining on us had lifted our spirits (if not made our backpacks lighter).

We quickly entered Dovre national park and started going up, nothing steep. We crossed our first snowfields, and a couple of rivers. The views were wide and open with lichen-covered soils giving a very pale greenish tinge to the scenery.

We met a group of 3 people carrying snowboards and skis. They had driven from Oppdal to have a few slides down on what little snow remained : very motivated skiers!

We arrived at a lovely manned cabin, with a drying room (always a treat) and great cuisine. Before dinner, we were treated to the history of the cabin and the valley (Grimsdalen), which still has around 50 summer farms. The manned cabins we have been to over time all work with local farms and offer great local products, such as lamb, pork, vegetables. Many countries could take inspiration from this.

Premier parc national et première cabane gardée

Il n’y a pas eu de pluie à Dombås. Nous avons commencé notre randonnée à la charmante vieille gare de Hjerkinn, à 30 minutes de train. La première heure de marche s’est déroulée, encore une fois, à travers des marais, nous avions donc les pieds mouillés, mais le soleil qui brillait nous avait remonté le moral (si ce n’est rendu nos sacs à dos plus légers).

Nous sommes rapidement entrés dans le parc national de Dovre et avons commencé à monter, rien de raide. Nous avons traversé nos premiers champs de neige et quelques rivières. Les vues étaient panoramiques avec des sols couverts de lichen donnant une teinte verdâtre très pâle au paysage. Nous avons rencontré un groupe de 3 personnes portant des snowboards et des skis. Ils étaient venus d’Oppdal pour faire quelques glissades sur le peu de neige qui restait : des skieurs très motivés !

Nous sommes arrivés dans une jolie cabine gardée, avec une salle de séchage (toujours un soulagement) et une excellente cuisine. Avant le dîner, nous avons eu droit à l’histoire de la cabane et de la vallée (Grimsdalen), qui compte encore environ 50 fermes d’été. Les cabanes gardées que nous avons visitées au fil du temps travaillent toutes avec les fermes du coin et offrent d’excellents produits locaux, tels que de l’agneau, du porc, des légumes. De nombreux pays pourraient s’en inspirer.

At 7pm – A 19h

At 1 am – A 1h du matin

False start

We had thought of hiking from Rondvassbu, near Otta, to Åndalsnes but the manned huts were not open for a few days and there were no buses yet to get us close to the start.

So our plans changed and we decided to walk it in the other direction. Trains were full (it is the Trondheim line until Dombås), so we took a bus. The weather was quite stormy for most of the way. 

However, the next day was clear, so we climbed up from the fjord. The rain had started before the pass but, once over, we found ourselves in very marshy land, where we tried to hop from stone to stone. The rain became much stronger, the stones disappeared in the grass, our shoes got sucked into mud and we had to walk through a knee-deep river (the T-marked rocks were clearly visible well below the surface). After over two hours of this we arrived at the self-serviced hut of Måsvassbu.

Two women, who were already there and had seen us walking down the valley, had kindly gotten a couple of fires going (one to warm us up, the other one to dry out our gear).  We spent a lovely evening chatting. They’d been coming to this hut for years and one of them was staying for 5 days.  They had tried to hike up to the next hut, but returned when they found themselves in fog, unable to see the next mark. Rain was forecast for a week, so they suggested we postpone our next 3 days of hut-to-hut hiking. We always listen to the locals.

As we hike for the scenery and we could not see the mountains, we chose to go back east, where we might get drier conditions.

Faux départ

Notre idée était de randonner de Rondvassbu, près d’Otta, à Åndalsnes, mais les refuges gardés n’étaient pas encore ouverts et il n’y avait pas encore de bus pour nous amener près du départ. Nos plans ont donc changé et nous avons décidé de faire le chemin dans l’autre sens. Les trains étant pleins (c’est la ligne de Trondheim jusqu’à Dombås), nous avons pris un bus. Le temps était assez orageux pendant la majeure partie du trajet. 

Cependant, le lendemain était clair, alors nous sommes partis du fjord. La pluie avait commencé avant le col mais, une fois franchi, nous nous sommes retrouvés dans un terrain très marécageux, où nous avons essayé de sauter de pierre en pierre. La pluie est devenue beaucoup plus forte, les pierres ont disparu dans l’herbe, nos chaussures ont été aspirées dans la boue et nous avons dû marcher dans une rivière jusqu’aux genoux (les rochers marqués du T du sentier étaient clairement visibles sous la surface). Après plus de deux heures, nous sommes arrivés à la cabane de Måsvassbu.

Deux femmes, sur place et qui nous avaient vus descendre la vallée, avaient gentiment allumé deux feux (l’un pour nous réchauffer, l’autre pour faire sécher notre matériel). Nous avons passé une belle soirée à bavarder. Elles venaient dans cette cabane depuis des années et l’une d’elle y passait 5 jours. Elles avaient essayé de marcher jusqu’à la cabane suivante, mais étaient revenues quand elles s’étaient retrouvées dans le brouillard, incapables de voir la prochaine marque. La pluie était annoncée pour une semaine, aussi nous ont-elles suggéré de reporter nos 3 prochains jours de randonnée de refuge en refuge. Nous sommes toujours à l’écoute des locaux.

Comme nous marchons pour le paysage et que nous ne pouvions pas voir les montagnes, nous avons choisi de retourner vers l’est, où nous aurions peut-être des conditions plus favorables.

A walk on the edge

The weather was beautiful, Jenny was busy with visitors, so John went for a hike.  He took the train to Frinvillier and walked back to Solothurn.  It is the one section of the Jura hike we had not completed in 2020.  It was a long hike, about 30 km, that took about 9 hours.  It is some time since John has done such a long walk and it was good to feel the challenge.  The walk was not difficult, just long.

It was a beautiful hike with soft greens of new leaves against the almost black of the evergreen pines.  The view over the alps was broad and stunning.  Unfortunately it was hazy, so good photos were not possible.  The walk goes through a new Unesco-protected heritage zone.

The border between Solothurn and Bern is quirky and you see stone border markers in surprising places.

Promenade sur la crête

Il faisait beau, Jenny était occupée avec des visites, alors John est parti en randonnée. Il a pris le train jusqu’à Frinvillier et a marché jusqu’à Soleure. C’est le seul tronçon de la randonnée jurassienne que nous n’avons pas terminé en 2020. C’était une longue randonnée, d’environ 30 km, qui a duré 9 heures. Cela faisait un certain temps que John n’avait pas fait une marche aussi longue et il a apprécié le défi. Elle n’était pas difficile, juste longue.

Une belle randonnée avec le vert tendre des nouvelles feuilles contre le noir des pins à feuilles persistantes. La vue sur les Alpes était panoramique et magnifique. Malheureusement, il y avait de la brume et il n’a pas été possible de prendre de bonnes photos. La promenade traverse une nouvelle zone patrimoniale protégée par l’Unesco.

La frontière entre Soleure et Berne est originale et l’on trouve des bornes en pierre à des endroits surprenants.

Emmental, a World champion and an old tunnel

Again, climbing up to reach rolling hills and farms, we mostly hiked at altitudes of about 900-1300 m.

Apart from some nuts, we don’t usually carry food with us on these day hikes since we keep coming across farms that sell their products (dairy products, cured meats, ice-creams). A corner of the house has a fridge/freezer, price list and an “honesty box” where you leave the money. Norway is the only other country where we have encountered this system.

As we approached a farm, we saw big signs that a given cheese had won gold in a championship in Norway (hence the title of this post). Of course, we bought a small slab of it.

Then we came across what is known as one of the oldest tunnels dug in Switzerland by farmers in 1839.  We  were somewhat puzzled by the effort to join these two valleys as there are enough low points in the area to pass over the hills.

Emmental, un champion du monde et un vieux tunnel

Une fois de plus, nous avons monté quelques centaines de mètres pour atteindre des collines et des fermes, principalement à des altitudes comprises entre 900 et 1300 mètres.

À part quelques noix, nous n’emportons généralement pas de nourriture lors de ces randonnées d’une journée, car nous passons régulièrement devant des fermes qui vendent leurs produits (produits laitiers, charcuterie, glaces). Dans un coin de la maison, il y a un réfrigérateur/congélateur, une liste de prix et une « boîte d’honnêteté » où l’on laisse l’argent. La Norvège est le seul autre pays où nous avons rencontré ce système.

Cute letter-boxes

En approchant d’une ferme, nous avons vu de grands panneaux indiquant qu’un de leurs fromages avait remporté l’or lors d’un championnat en Norvège (d’où le titre de ce billet). Bien sûr, nous en avons acheté un petit morceau.

Ensuite, nous sommes tombés sur ce qui est connu comme l’un des plus anciens tunnels creusés en Suisse par des agriculteurs en 1839.  Nous avons été quelque peu déconcertés par les efforts déployés pour relier ces deux vallées, car il y a suffisamment de points bas dans la région pour passer par-dessus les collines.

On the northern shore of Lake Thun

The fog was forecast to last until the late afternoon, so we went for a hike above Lake Thun where the sun was shining and the views were great, in spite ofsome lingering haze.  

There are 4 stages on the tour of the lake, this one goes from Thun to Sigriswil. The weather was mild and cows were out in the fields, geraniums were still in full bloom and autumn leaves made the stretches in the woods very pleasing.

Le brouillard devait durer jusqu’à la fin de l’après-midi, nous sommes donc allés faire une randonnée au-dessus du lac de Thoune où le soleil brillait et les vues étaient magnifiques en dépit de brumes résiduelles.

Il y a 4 étapes sur le tour du lac, celle-ci va de Thun à Sigriswil. Le temps était doux et les vaches en profitaient dans les prés, les géraniums étaient encore en pleine floraison et les feuilles d’automne rendaient les parties dans les bois très agréables.

On our doorstep

We are fortunate to live in a small town at the foot of the Jura mountains.  It means that if the sky is grey, or there is fog, we can hike up to enjoy the sun and warmer temperatures (bus and gondolas are also options).

At this season, it can happen that clouds don’t subside until about 2 pm, so we left home to climb up to Balmflühchöpfli, Röti and Weissenstein.  We have posted a few times about these places. While we enjoy all our hikes, not having to use a car is a real plus with this one.

For the first two kilometres, we walk on small lanes along convents, monasteries and a high school before going into the Verena gorge.  We entered the clouds at about 650 m and saw a very blue sky as of around 850 m.

There were quite a few people at the top, as it was a public holiday in our canton, families having picnic, grilling their sausages, kids climbing up trees, all in light shirts under the warm sun.  The views are always wonderful up there, although the Alps were not as sharp and clear as other times.  Sometimes, we can see Mt-Blanc, 180 km away, but not today.

By the time we got back down, it was also sunny but we’d gained a few hours of extra sun, as well as exercised with an altitude gain of 1200 m.

A notre porte

Nous avons la chance de vivre dans une petite ville au pied du Jura.  Cela signifie que si le ciel est gris ou s’il y a du brouillard, nous pouvons monter à pied pour profiter du soleil et des températures plus chaudes (le bus et les télécabines sont également des options).

En cette saison, il arrive que les nuages ne se dissipent que vers 14 heures. Nous avons donc quitté la maison pour monter au Balmflühchöpfli, au Röti et au Weissenstein.  Nous avons déjà publié plusieurs articles sur ces endroits.  Même si nous apprécions toutes nos randonnées, le fait de ne pas avoir à utiliser la voiture est un vrai plus pour celle-ci.

Pendant les deux premiers kilomètres, nous marchons sur de petits chemins le long de couvents, de monastères et d’un lycée/collège/gymnase avant de pénétrer dans les gorges de la Verena.  Nous sommes entrés dans les nuages vers 650 m et avons vu un ciel très bleu à partir de 850 m.

Il y avait pas mal de monde au sommet, car c’était un jour férié dans notre canton, des familles pique-niquant, grillant leurs saucisses, des enfants grimpant aux arbres, tous en chemises légères sous le chaud soleil.  La vue est toujours magnifique là-haut, même si les Alpes n’étaient pas aussi nettes et claires qu’à d’autres moments.  Parfois, nous pouvons voir le Mt-Blanc, à 180 km de là, mais pas aujourd’hui.

Lorsque nous sommes redescendus, le soleil brillait aussi en plaine, mais nous avions gagné quelques heures de soleil supplémentaires tout en nous étant exercés avec un gain d’altitude de 1200 m.

A walk in the Sierra

After 10 days of clouds, rain and wind, the weather finally improved and we drove up to Monachil, in the Sierra Nevada.

The Ruta de los Cahorros was described as a 4-5 hour hike through gorges, hanging bridges and up some hills.  In fact, the loop is about 10 km and is done in about half the time.

At one stage, we walked past a small canal (like the levadas in Madeira or the bisses in Valais) that carries the eater down to the rivers and irrigates the soil and where there is vegetation.  Looking back, its location is clearly visible: there is a line of trees.

Balade dans la Sierra

Après 10 jours de nuages, de pluie et de vent, le temps s’est enfin amélioré et nous sommes montés à Monachil, dans la Sierra Nevada.

La Ruta de los Cahorros était décrite comme une randonnée de 4 à 5 heures à travers des gorges, des ponts suspendus et quelques collines. En fait, la boucle est d’environ 10 km et se parcourt en moitié moins de temps.

A un moment donné, nous sommes passés devant un petit canal (comme les levadas à Madère ou les bisses en Valais) qui amènevl’eau dans les rivières et irrigue le sol et où il y a de la végétation. En regardant en arrière, son emplacement est clairement visible : il y a une ligne d’arbres.

On the mountainside

With a sunny day forecast, we took the 30-minute bus to Tiefenbachglacier so we could walk from there to Vent, the last village in the valley, about 3h45 away.  To reach this glacier, the bus goes through the highest road tunnel in  Europe, oddly named Rosi-Mittermaier-Tunnel, one of the great skiers of the 1970s and a German citizen.  Her rival then was an Austrian, Annemarie (Moser-)Pröll, a great champion, so I would have expected the tunnel to be named after the national star instead.

The walk was beautiful, varied, mostly staying between 2800-2500 m.  While not difficult, it required attention as we had to cross fields of snow and of stones, where a false step could have serious consequences.  We really enjoyed the scenery.

Before starting on the walk, we took a gondola that took us to a viewpoint where we could see several glaciers, many 3000m+ summits, including Wildspitze, Tirol’s tallest mountain at 3768 m.

A flanc de montagne

Avec une journée ensoleillée annoncée, nous avons pris le bus d’une durée de 30 minutes pour le glacier de Tiefenbach afin de pouvoir marcher de là jusqu’à Vent, le dernier village de la vallée, à environ 3h45.  Pour atteindre ce glacier, le bus passe par le plus haut tunnel routier d’Europe, curieusement nommé Rosi-Mittermaier-Tunnel, l’une des plus grandes skieuses des années 1970 et citoyenne allemande.  Sa rivale d’alors était une Autrichienne, Annemarie (Moser-)Pröll, une grande championne, et j’aurais donc pensé que le tunnel porterait plutôt le nom de la star nationale.

La marche était belle, variée, restant le plus souvent entre 2800-2500 m. Sans être difficile, elle demandait de l’attention car nous devions traverser des champs de neige et de pierres, où un faux pas pouvait avoir de graves conséquences.  Nous avons beaucoup apprécié le paysage.

Avant de commencer la marche, nous avons pris une télécabine qui nous a emmenés à un point de vue d’où nous pouvions voir plusieurs glaciers, de nombreux sommets de plus de 3000 m, dont le Wildspitze, la plus haute montagne du Tyrol à 3768 m.

Schwarzsee, Sölden

The sun reappeared in the village at around noon, so we planned a shorter hike. Again, we took a bus and a gondola to get well above the tree line.  Starting at around 2500m, it was going to be a 30-minute walk up to Schwarzsee. The idea was then to go on further up to the summit at 3200m before coming back down and another hour across meadows.

At the lake, though, clouds were still present and the wind was getting stronger, bringing more clouds in.  The lake, at 2800m was almost entirely covered with ice.  It was a more popular hike because of  its easy accessibility.  Another (half) day of beautifuil scenery.

Le soleil est réapparu dans le village vers midi, nous avons donc prévu une randonnée plus courte. Encore une fois, nous avons pris un bus et un télésiège pour arriver au-dessus de la limite des arbres. À partir d’environ 2500 m, il devait y avoir une marche de 30 minutes jusqu’au Schwarzsee. L’idée était ensuite de continuer jusqu’au sommet à 3200m avant de redescendre et de passer une heure à travers les prairies.

En haut, cependant, les nuages étaient toujours présents et le vent devenait plus fort, en apportant du brouillard. Le lac, à 2800m, était presque entièrement recouvert de glace. Cette randonnée était plus populaire en raison de sa facilité d’accès. Une autre (demi-)journée de paysages magnifiques.