Otranto and a walk along the coast

We took a local train to get to Otranto, Italy’s easternmost town. We had to change in Maglie but there is no worry about missing the connection since, if running late, the next train will await your arrival.  The travel speed was low, so it allowed us to witness the ravages wrought by the olive tree leprosy (xylella fastidiosa) in the area. It is a sad thing to see field after field of dead old trees. We saw a few areas with new trees planted, it seems some varieties are resistant to the disease.

The old town was quite nice but with many tourist shops, thankfully not crowded, since we are nearing the end of the season (and cold winds soon obliged us to wear our jackets).

There were no buses to the sandy beaches to the north and although we had been told there were no walking paths and a car was needed to go anywhere, we started walking along the coast, southward.  A dirt road and parking area had a number of campervans and cars but, as soon as we were on a single track, there were very few people.

The mountains of Albania were quite visible across the sea and the coast had a number of observation bunkers, about every 2 kms. Small stone huts in  the vicinity, which sheltered the soldiers, have all fallen into disrepair. Albania is famous for these constructions  but we were not aware  Italy also had them.

Otranto et une balade le long de la côte

Nous avons pris un petit train local pour arriver à Otranto, la ville la plus à l’est de l’Italie. Il y a un changement de train à Maglie mais aucun risque de rater la connection, car il attend l’arrivée du train de Lecce. Le voyage se déroule à une vitesse basse et permet de constater les ravages créés par la lèpre de l’olivier (xylella fastidiosa).  Quelle désolation de voir des champs d’oliviers morts à perte de vue.  Nous avons pourtant vu quelques nouvelles plantations et greffes car il semble que quelques variétés ssoient résistantes à la maladie.

La vieille ville est assez agréable mais avec beaucoup de magasins pour touristes. Heureusement, nous arrivons déjà en fin de saison (et le vent froid nous a rapidement rappelés d’enfiler nos vestes) et la ville n’était pas très fréquentée.

Il n’y avait pas de bus vers les plages de sable au nord de la ville. L’office du tourisme nous avait dit qu’il n’y avait pas de sentier et qu’une voiture était nécessaire pour visiter les environs. Nous avons commencé à marcher vers le sud et nous sommes vite retrouvés sur une route non goudronnée puis un grand parking avec quelques camping-cars mais, dès que la route s’est transformée en petit sentier, nous n’avons vu que peu de personnes (quelques pêcheurs). Il n’y a pas de plage pendant les quelque 5 kilomètres de côtes mais il y a plusieurs accès pour se baigner.

Les montagnes d’Albanie étaient bien visibles depuis l’autre côté de la mer et le sentier passe plusieurs bunkers d’observation, environ tous les deux kilomètres.  Des maisonnettes en pierre, proches et qui servaient d’abris aux soldats sont tombées en ruine. L’Albanie était célèbre pour ces constructions mais nous ignorions que l’Italie en avait aussi.

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