After almost two weeks in Marche, and being halfway down Italy, we took the train down to Lecce. We had wanted to visit Puglia but, somehow, never got around to it.
Our first stop was the second city of the region, and we immediately loved it. Its small meandering lanes, beautiful buildings (even the rundown ones), its liveliness, pasticcerie, friendly attitude to bicycles, appealed to us. Cars, while present, were not overwhelming, which is unfortunately still often the case in Italy.





We live in a baroque city, but the limestone used in Lecce, from the area (pietra leccese), is very malleable, allowing the sculptures to reach new levels of details and intricacies. This has led to the term of “barocco leccese” with characteristics and a specific vocabulary to describe it.




Getting into the modern, commercial part of town, past the pleasant Giardino Garibaldi, we visited the Chiesa Sant’Antonio Fulgenzio. This church was built in the early 1900s, when this part of town was undeveloped, on land donated to build a sanctuary. The décor was described to us by the young priest (who was sweeping the floor) as neo-gothic and quite impressive.

Coup de coeur pour Lecce, belle et baroque
Après deux semaines dans les Marches et à mi-chemin de la botte italienne, nous avons repris le train pour nous rendre à Lecce. Cela faisait de nombreuses années que nous voulions visiter les Pouilles sans y parvenir.
Notre premier stop a donc été la deuxième ville de la région et nous en sommes immédiatement tombés sous le charme. Ses petites ruelles sinueuses, magnifiques bâtiments (même les non rénovés ou entretenus sont d’une grande beauté), son animation, ses pâtisseries-bars, pistes cyclables, tout nous a plu. Les voitures, bien que présentes ne dominent pas le centre ville, ce qui est malheureusement encore souvent le cas en Italie.
Nous vivons dans une ville baroque mais la pierre calcaire utilisée à Lecce (pietra leccese) est extrêmement malléable, ce qui a permis la réalisation de sculptures d’une exceptionnelle richesse. On parle même d’un barocco leccese, un « baroque de Lecce », qui possède des caractéristiques et un vocabulaire architectural qui lui sont propres.
Nous nous sommes aussi rendus dans la partie commerciale, de l’autre côté du jardin public Garibaldi et y avons visité la Chiesa Sant’Antonio Fulgenzio. Cette église a été érigée au début du 20e siècle, bien avant que le quartier ne se développe dans les années 60. Le terrain avait été donné à la ville afin d’y construire un sanctuaire. Le jeune prêtre (qui balayait son église) nous a décrit le décor impressionnant comme néo-gothique.