Some August impressions

We have not been able to hike much this summer. It was only towards the end of the month that we took a funicular for a walk above Lake Brienz.

Jenny had spent several weeks in Geneva for family reasons, without time to see friends. She managed one evening at Cine Transat, the free outdoor cinema by the lake. Guess the film.

2025 marked the 100th anniversary of Richard Burton’s birth. There was a homage in  his memory on 1st of August, Swiss national  day in the village of Céligny where he lived on and off in a modest house from 1958  to his death in 1984 He enjoyed the local café and vineyards and was well-liked.

Août : quelques impressions

Nous n’avons pas pu faire beaucoup de randonnées cet été. Ce n’est que vers la fin du mois que nous avons pris un funiculaire pour nous promener au-dessus du lac de Brienz. 

Jenny avait passé plusieurs semaines à Genève pour des raisons familiales, sans avoir le temps de voir des amis. Elle a pu passer une soirée à Ciné Transat, le cinéma extérieur gratuit au bord du lac. Devinez le film.

L’année 2025 a marqué le 100e anniversaire de la naissance de Richard Burton. Il y a eu un hommage en sa mémoire le 1er août, fête nationale suisse, dans le village de Céligny où il a vécu par intermittence dans une modeste maison de 1958 à sa mort en 1984.

Back to Oslo and change of plans – again

Once in Kirkenes, we thought we could take a bus just across the Finnish border and make our way south. Not so easy.  It requires taking a once-a-day (at 6 am) bus further west in Norway before being able to cross over. Then, the next day, a once-a-day bus (9 am) south to Inari or Rovaniemi. From the latter, it is easy to get down to Helsinki. 

Since we had a return flight from Oslo to Geneva on July 10, we were going to run out of time and – given the summer holidays crowds – have an expensive flight Helsinki – Oslo. 

So we flew straight to Oslo (2h10 almost the same flying time as from Geneva).

The weather was cool and wet, we chatted with the people at the hikers association and they said hiking anywhere this coming week would be challenging, with heavy rains, some snow and fog forecast in different parts of the country.

So, Oslo it is, until our return. We have visited museums, seen a couple of short ballets, strolled around and stocked up on sports gear. 

Oslo sits on its fjord and is nestled among forests where possibilities to walk are endless, the area is peppered with lakes and there are huts to get refreshments and a piece of blueberry pie.  Several metro lines take you to the start of the walks at an altitude of 200 m.

In winter, people take the metro with their skis, after work, and go for some cross-country skiing along these paths, lit at night.  

Now that summer is back, we walk in the area (it takes a day’s travel in each direction to reach the mountains).  The forecast is for up to 28° for this coming weekend of mid-July.

Oslo’s city hall is the venue for the Nobel Peace Prize every December. Its construction started in 1931 but was interrupted during the war, so it was not until 1950 that it was inaugurated. While it is not the most attractive building on the outside, we found the various decorations  in the building very interesting.  Norwegian patterns, themes, landscapes and history, with the Occupation frise, in the main hall, painted after the war, are well represented.

Liberation day, part of the frise

Retour à Oslo et nouveau changement de plan

Arrivés à Kirkenes, nous avions pensé prendre un bus juste pour la Finlande et descendre vers le sud. Pas si facile. Il faut d’abord prendre le seul  bus quotidien (à 6 heures du matin) qui va vers l’ouest de la Norvège avant de pouvoir traverser. Puis, le lendemain, ne pas rater l’autre bus (à 9 heures) vers le sud jusqu’à Inari ou Rovaniemi. Depuis là, il est aisé de voyager vers Helsinki.

Comme nous avions un vol de retour d’Oslo à Genève le 10 juillet, nous allions manquer de temps et – compte tenu de la foule des vacances d’été – avoir un vol coûteux Helsinki – Oslo.

Nous avons donc pris l’avion pour Oslo (2h10 presque la même durée de vol qu’au départ de Genève).

Le temps était frais et humide, nous avons discuté avec les gens de l’association des randonneurs et ils ont dit que la randonnée n’importe où cette semaine serait difficile, avec de fortes pluies, de la neige et du brouillard prévus dans différentes parties du pays.

Ce sera donc Oslo, jusqu’à notre retour. Nous avons visité des musées, assisté à quelques courts ballets, nous nous sommes promenés et avons fait le plein de vêtements de sport.

Oslo se trouve sur son fjord et est nichée au milieu de forêts où les possibilités de marcher sont infinies, la région est parsemée de lacs et il y a des cabanes pour obtenir des rafraîchissements et un morceau de tarte aux myrtilles. Plusieurs lignes de métro vous emmènent au départ de balades à 200 m d’altitude.

En hiver, les gens prennent le métro avec leurs skis, après le travail, et vont faire du ski de fond le long de ces sentiers éclairés la nuit.

Maintenant que l’été est de retour, nous nous promenons dans la région (il faut une journée de voyage dans chaque sens pour atteindre les montagnes). Les prévisions annoncent jusqu’à 28° pour le week-end de la mi-juillet.

L’hôtel de ville d’Oslo accueille le prix Nobel de la paix chaque mois de décembre. Sa construction a commencé en 1931 mais a été interrompue pendant la guerre, ce n’est donc qu’en 1950 qu’il a été inauguré. Bien que ce ne soit pas le bâtiment le plus attrayant à l’extérieur, nous avons trouvé les différentes décorations du bâtiment très intéressantes. Les motifs, les thèmes, les paysages et l’histoire norvégiens, avec la frise de l’Occupation, dans le hall principal, peinte après la guerre, sont bien représentés.

Towns in the Arctic

Bodø was our first stop after boarding in Trondheim.  It is the second city in the Arctic with a population of around 55’000 inhabitants.  The city was bombarded in May 1940 and many buildings were reduced to ashes. The population had been evacuated, so casualties were limited.  However, it had to be rebuilt quickly after the war to lodge the inhabitants. At the time, cost and speed were most important and it has long been considered Norway’s ugliest town.

Things have changed in the past twenty years and new, attractive, buildings have come up (for ex. a library, by the old harbour).  Bodø was one of three European Capital of Culture in 2024.

Its cathedral was destroyed in 1940 and the new one inaugurated in 1956. The interior is much nicer than the exterior.

Its campanile, separated from the main building, is quite unusual.

It is the last stop of the Northern train line. 

Fun fact, the airport is 1.5 km away from the city centre and most people just walk to/from it. 

Then we stopped for a few hours at Tromsø, the largest city in the North, and a popular winter destination (Northern lights, skiing). We did not have much time to visit, as Jenny had a lengthy appointment at the dentist, due to a broken tooth and amalgam in Trondheim on the week-end.  There is a sporty and young vibe to the town.

For people in Europe of a certain age, Hammerfest was known as the northernmost city/town in the world, so it was irresistible for us to get up at 5 am for the cargo unloading (only one box came on board), which lasted 40 minutes.  The ship stops for a couple of hours, around midday on its southbound journey.  Hammerfest is an old settlement, was the base for polar expeditions and has had the status  of a city since 1789.

Honningsvåg, the gateway to the North Cape, is now also considered a city, so there is a rivalry between these two towns for which one is the most septentrional. . Honningsvåg has a couple of art galleries, a theatre and received the status of a city in 1996, in spite of its population being below 5,000 inhabitants, which is the minimum in Norwegian law to gain that status.

We finished our trip at Kirkenes, which has many signs in cyrillic alphabet, although the tourist trade from Russia has ceased since the war in Ukraine.  Tourism from its neighbours was the town’s main revenue and many shops have closed, many people have left, it has the depressed feeling of a dying town.

Villes arctiques

Bodø a été notre premier arrêt après l’embarquement à Trondheim. C’est la deuxième ville de l’Arctique avec une population d’environ 55’000 habitants. La ville a été bombardée en mai 1940 et de nombreux bâtiments ont été réduits en cendres. La population avait été évacuée, de sorte que les pertes humaines furent limitées. 

Cependant, il a fallu reconstruire la ville rapidement après la guerre pour loger ses habitants. À l’époque, le coût et la rapidité de construction étaient le plus important et Bodø a longtemps été considérée comme la ville la plus laide de Norvège. Les choses ont changé au cours des vingt dernières années et de nouveaux bâtiments attrayants ont vu le jour (par exemple une bibliothèque, près du vieux port). Bodø a été l’une des trois capitales européennes de la culture en 2024. 

Sa cathédrale a été détruite en 1940 et la nouvelle inaugurée en 1956. L’intérieur est beaucoup plus agréable que l’extérieur. Son campanile, séparé du bâtiment principal, est assez atypique. 

Bodø est le dernier arrêt de la ligne de train du Nord. Fait amusant, l’aéroport est à 1,5 km du centre-ville et la plupart des gens s’y rendent à pied.

Nous nous sommes ensuite arrêtés quelques heures à Tromsø, la plus grande ville du Nord, et une destination hivernale populaire (aurores boréales, ski). Nous n’avons pas eu beaucoup de temps pour la visiter, car Jenny avait un long rendez-vous chez le dentiste, à cause d’une dent et d’un amalgame cassés à Trondheim le week-end. Il y a une ambiance sportive et jeune dans la ville.

Pour les Européens d’un certain âge, Hammerfest était connue comme la ville la plus septentrionale du monde, il était donc irrésistible pour nous de nous lever à 5 heures du matin pour le déchargement de la cargaison (une seule boîte est montée à bord), qui a duré 40 minutes. Le navire s’arrête pendant quelques heures, vers midi, dans son voyage retour vers le sud. Hammerfest est une ancienne colonie, qui était la base des expéditions polaires et a le statut de ville depuis 1789.

Honningsvåg, la porte d’entrée du Cap Nord, est aujourd’hui également considérée comme une ville, il y a donc une rivalité entre ces deux bourgades pour admettre laquelle est la plus septentrionale. Honningsvåg possède quelques galeries d’art, un théâtre et a reçu le statut de ville en 1996, bien que sa population soit inférieure à 5 000 habitants, ce qui est le minimum en droit norvégien pour obtenir ce statut.

Nous avons terminé notre voyage à Kirkenes, qui possède de nombreux panneaux en alphabet cyrillique, bien que le commerce touristique en provenance de Russie ait cessé depuis la guerre en Ukraine. Le tourisme de ses voisins était le principal revenu de la ville et de nombreux magasins ont fermé, beaucoup de gens sont partis, elle a le sentiment déprimé d’une ville en déclin.

Trondheim

In the morning, the weather was dreadful and the forecast was for a rainy, foggy day – and week!  We did not like the idea of a 7-hour long hike in such adverse conditions, with no views, on Jenny’s birthday. 

So, when someone mentioned driving back 1h30 to Dombås to catch a train, we seized the opportunity to join them and headed to Trondheim.

Trondheim sits on the third longest fjord of the country and is the third city by population.  It boasts the northernmost gothic cathedral (Nidaros, built from 1070 onwards), which is also the arrival point of St Olav’s way.  There are 7 different paths, the longest and most popular being the Oslo-Trondheim 643 km route.  While this pilgrimage has been popular in Scandinavia for almost 1,000 years, it does not draw the huge crowds of the Camino.  The cathedral was the coronation church of Norwegian kings until 1906.

When the royal family comes into town, they stay at their residence, in the centre, on a street corner, near the cathedral. Built in the late 18th century, it covers 4000 m2 and is the largest wooden palace in Scandinavia.

We stayed two nights and enjoyed strolling around its pleasant city centre in summer mood, with a market, salsa dancers and old warehouses turned into nice-looking apartments. 

Jenny’s birthday turned out much better than we feared at the start of the day.

Le matin, le temps était épouvantable et les prévisions annonçaient une journée – et une semaine pluvieuses et nuageuses! L’idée d’une randonnée de 7 heures dans des conditions aussi défavorables, sans vue, le jour de l’anniversaire de Jenny, ne nous tentait absolument pas. Aussi, quand quelqu’un a mentionné prendre la route 1h30 pour Dombås, à 1h30, pour prendre un train, nous avons saisi l’occasion de nous joindre à elle et sommes partis pour Trondheim.

Trondheim se trouve sur le troisième plus long fjord du pays et est la troisième ville en terme de population. Elle possède la cathédrale gothique la plus septentrionale (Nidaros, construite à partir de 1070), qui est également le point d’arrivée du chemin de Saint-Olav. Il y a 7 chemins différents, le plus long et le plus populaire étant l’itinéraire Oslo-Trondheim de 643 km. Bien que ce pèlerinage soit populaire en Scandinavie depuis près de mille ans, il n’attire pas les foules immenses du Camino. La cathédrale a été l’église du couronnement des rois norvégiens jusqu’en 1906.

Lorsque la famille royale vient en ville, elle séjourne dans sa résidence située en plein centre à quelques encablures de la cathédrale. Construit à la fin du 18e siècle, il s’étend sur 4000 m2 et est le plus grand palais en bois de Scandinavie.

Nous sommes restés deux nuits et avons apprécié de nous promener dans son agréable centre-ville à l’ambiance estivale, avec un marché, des danseurs de salsa dans la rue et de vieux entrepôts transformés en appartements agréables.

L’anniversaire de Jenny s’est avéré bien meilleur que ce que nous craignions au début de la journée.

Revisiting Oslo reinvented

Eight years ago, the opera was the only building in the water.  The high-rise buildings along the road, known as the barcode, had an unobstructed view of the bay.  There were decks for people to suntan and go for a swim. We knew there were plans to erect several public buildings, such as the Munch museum, the public library. See our post : https://jjonthemove.com/2017/07/14/oslo-re-invented/

We have gone back. The library is wonderful and has many great design touches, in typical Nordic style. 

It is situated across from the opera.

We did not particularly like the look of the Munch museum.  As there was a major exhibition of Northern Lights in the  Beyeler Foundation in Basel, we thought many of his works may not be back on display but we learned that he had donated 26,000 artwork pieces (including his private collections and photographs) to the city  : so  there is plenty of margin. 

What surprised and shocked us the most though, is how much of the water has been reclaimed and built on. While the new apartment blocks are mostly lower than the barcode, they really obstruct their view now and these high-rises are no longer waterfront properties but are about 6 to 8 blocks behind. The new neighbourhood is highly densified and there are several more projects under way, which will add hundreds more apartments.  A beach has been created and seems popular. There are still some docks here and there but the atmosphere is entirely different.  We found it was not for us and we were glad to be back to our lovely older part of Oslo.

Oslo réinventé – huit ans plus tard

Il y a huit ans, l’opéra était le seul bâtiment dans l’eau. Les gratte-ciel le long de la route, connus sous le nom de code-barres, avaient une vue imprenable sur la baie. Il y avait des terrasses pour que les gens puissent bronzer et se baigner. Nous savions qu’il était prévu d’ériger plusieurs bâtiments publics, tels que le musée Munch, la bibliothèque municipale. Voir notre article : https://jjonthemove.com/2017/07/14/oslo-re-invented/

Nous y sommes retournés. La bibliothèque est magnifique et a beaucoup de touches design, dans un style typiquement nordique. Il est situé en face de l’opéra. Nous n’avons pas particulièrement aimé l’architecture du musée Munch. Comme il y avait une grande exposition (Lumières nordiques) à la Fondation Beyeler à Bâle, nous pensions que beaucoup de ses œuvres ne seraient peut-être pas à nouveau exposées, mais nous avons appris qu’il avait fait don de 26 000 œuvres d’art (y compris ses collections privées et ses photographies) à la ville : il y a donc beaucoup de marge. 

Ce qui nous a le plus surpris et choqué, c’est le nombre de nouvelles constructions sur ce qui était le fjord. Bien que les nouveaux immeubles d’appartements soient pour la plupart plus bas que le code-barres, ils obstruent vraiment leur vue maintenant et ces gratte-ciel ne sont plus des propriétés pieds dans l’eau, mais ont maintenant environ 6 à 8 pâtés de maisons devant eux. Le nouveau quartier est très densifié et plusieurs autres projets sont en cours, ce qui ajoutera des centaines d’appartements supplémentaires. Une plage a été créée et semble populaire. Il y a encore quelques quais ici et là mais l’ambiance est totalement différente. Nous avons découvert que ce n’était pas pour nous et nous étions heureux d’être de retour dans notre charmant vieux quartier d’Oslo.

Summer vibes in Oslo

We have been keen to come back to Norway to hike after our wonderful trek in the mountains 8 years ago (see https://jjonthemove.com/hikes/finse-to-sognefjell/). 

We have at last made it back and have spent a few days in Oslo, joining the Norwegian hiking association, getting the keys to the huts and an updated map. 

The weather has been great during our stay and, on this first day of summer, even reached 25°.  People are out and about in  parks, on terraces (apparently, it had been cool until a few days ago) and we have not seen the sun set.

Ambiance estivale à Oslo

Nous avions hâte de retourner en Norvège pour randonner après notre magnifique trek en montagne il y a 8 ans (voir https://jjonthemove.com/hikes/finse-to-sognefjell/).

Nous sommes enfin de retour et avons passé quelques jours à Oslo, adhérant à l’association norvégienne de randonnée, récupérant les clés des refuges et une carte mise à jour.

La météo a été superbe pendant notre séjour et, en ce premier jour d’été, il a même fait 25°. Les gens se promènent dans les parcs, sur les terrasses (apparemment, il faisait frais jusqu’il y a quelques jours) et nous n’avons pas vu le soleil se coucher.

Spring in Zurich

We signed up for a two-week spring housesit in Zurich. While we had been there a few times, we had never spent more than a few hours.  The apartment was near the Letzigrund football stadium and in a very green area.  Both the sweet little cat we looked after  and Jenny suffered from allergies due to some tree pollens.

We thoroughly explored different neighbourhoods, walking 10 to 15 kms/day and had a good time there. 

Printemps à Zurich

Nous avons passé deux semaines à Zurich pour un housesit. Nous y étions allés plusieurs fois mais pour de courtes visites. L’appartement était près du stade du Letzigrund et entouré de verdure. L’adorable chatte et Jenny ont toutes deux souffert d’allergies dues auxpollens de certains arbres.

Nous avons bien exploré divers quartiers à pied (10-15 km/jour) et avons apprécié ce séjour.

11

This number has had a special significance in Solothurn for a long time.

The town is known for its 11 churches and chapels, 11 fountains and 11 towers.  It was the 11th canton to join Switzerland.  According to the legend, the town’s patron saints – Ursus and Victor – were soldiers in the 11th Theban Legion during the Roman Empire; as Christian converts, the men were beheaded in Salodurum (Solothurn).

In 1762, the architect Gaetano Matteo Pisoni was so fascinated by the “elevenish atmosphere” that he harmonised the church with it. The bell tower measures 6 x 11 metres; the tower contains 11 bells; 11 altars adorn the cathedral, and they can be seen all at once only from a single spot, which is the eleventh black stone at the main entrance. The prayer benches are arranged in rows of eleven. The monumental staircase consists of 3 x 11 stairs (which make for great jumps when there is snow). The construction period was 11 years (1762 – 1773).

Just outside the old town’s gate of Bieltor, there is an 11-hour clock, a nod to the city’s favourite number.  Finally, the town’s brewery is called Öufi, which is 11 in the local dialect.

Ce chiffre a depuis longtemps une signification particulière à Soleure.

La ville est connue pour ses 11 églises et chapelles, ses 11 fontaines et ses 11 tours.  Elle a été le 11e canton à rejoindre la Suisse.  Selon la légende, les saints patrons de la ville – Ursus et Victor – étaient des soldats de la 11e légion thébaine sous l’Empire romain ; convertis au christianisme, ils furent décapités à Salodurum (Soleure).

En 1762, l’architecte Gaetano Matteo Pisoni fut tellement fasciné par l’« atmosphère onzième » qu’il harmonisa l’église avec elle. Le clocher mesure 6 x 11 mètres ; la tour contient 11 cloches ; 11 autels ornent la cathédrale, et on ne peut les voir tous en même temps que d’un seul point, à savoir la onzième pierre noire de l’entrée principale. Les bancs de prière sont disposés en rangées de onze. L’escalier monumental est composé de 3 x 11 marches (de beaux tremplins quand il y a de la neige). Le nombre de tuyaux du grand orgue peut être divisé par 11. La construction a duré 11 ans (1762 – 1773).

Juste en dehors de la porte de Bienne, il y a une horloge de 11 heures, un clin d’oeil à ce chiffre.  Enfin, la brasserie de la ville s’appelle Öufi, c’est-à-dire 11 dans le dialecte local.

Mudéjar style in Teruel

Teruel is a small city in Aragón and regarded as “the town of Mudéjar architecture” due to the numerous buildings designed in this style.  It was “a type of ornamentation and decoration used in the Iberian Christian kingdoms, primarily between the 13th and 16th centuries. It was applied to Romanesque, Gothic and Renaissance architectural styles as constructive, ornamental and decorative motifs derived from those that had been brought to or developed in Al-Andalus.” (Wikipedia)

Situated at an altitude of 915 m, Teruel has a harsh climate, but is not quite as isolated as it once was: Valencia is a 1h30 drive away on the freeway. Its cured ham is quite renowned.

The day we were there was overcast, due to the tail end of a storm that battered the north of Spain.

Style Mudéjar à Teruel

Teruel est une petite ville d’Aragon considérée comme “la ville de l’architecture mudéjare” en raison des nombreux bâtiments conçus dans ce style. Il s’agit “d’un type d’ornementation et de décoration utilisé dans les royaumes chrétiens ibériques, principalement entre le XIIIe et le XVIe siècle. Il a été appliqué aux styles architecturaux roman, gothique et de la Renaissance en tant que motifs constructifs, ornementaux et décoratifs dérivés de ceux qui avaient été apportés ou développés en Al-Andalus”. (Wikipedia)

Située à 915 m d’altitude, Teruel a un climat rude, mais n’est plus aussi isolée qu’autrefois : Valence est à 1h30 d’autoroute. Son jambon cru est très réputé.

Le jour de notre visite, le ciel était couvert, en raison de la fin d’une tempête qui s’est abattue sur le nord de l’Espagne.

Back in Spain…

… and our first stop was Figueres for a change. This is the birth place of Salvador Dalí and the old municipal theatre, partially destroyed during the civil war, has been turned into a museum.  As we are not particularly sensitive to his art, we did not visit but enjoyed strolling around this little town.

The El Jardín theatre was built between 1914 and 1916 and is, to our eyes, very pretty.  As always in Catalunya, there are interesting architectural details on many buildings, which makes for pleasing rambling.

We also liked Sant Pere church very much, with its very sober stone walls, arches and ceiling.

De retour en Espagne

… et notre première étape a été Figueres, la ville natale de Salvador Dalí. L’ancien théâtre municipal, partiellement détruit pendant la guerre civile, a été transformé en musée.  Comme nous ne sommes pas particulièrement sensibles à son art, nous ne l’avons pas visité mais avons pris plaisir à nous promener dans cette petite ville. 

Le théâtre El Jardín a été construit entre 1914 et 1916 et est, à nos yeux, très joli.  Comme toujours en Catalogne, de nombreux bâtiments présentent des détails architecturaux intéressants, ce qui rend la balade plaisante.  

Nous avons également beaucoup aimé l’église Sant Pere, très sobre avec ses murs, ses arches et son plafond en pierres.