Given the weather forecast, we thought we would take a train as far north as it goes (Bodø) and see then what the next steps could be. The train, however, was fully booked and Entur, the app for travelling within Norway, suggested the boat.
John did a quick search and we went for an electric boat that is a mix of cruise and cargo, fully Norwegian-owned and -crewed. The further north we go, the fewer roads there are and the boat is the best and fastest way for these small towns and communities to be resupplied. The ship stops very regularly, sometimes for only 10 minutes, just the time to unload/load people and goods. It also ran as a postal boat until the service was discontinued in the early 1990s (same for the Hurtigruten).

We are not cruise people and, frankly, it is more our idea of a punishment than a holiday, so we booked only two nights, to Tromsø.
Leaving Trondheim, we passed this lighthouse, built in the late 19th century. These used to be guarded by single, retired fishermen. However, this place saw a man coming with his family (three children), with occasional school teachers dropping by; they stayed around 20 years. It is hard to imagine going back to a life on the mainland.

On passe au bateau
Compte tenu des prévisions météorologiques, nous avons songé à prendre un train vers le nord (Bodø, terminus de la voie ferrée) et voir ensuite quelles pourraient être les prochaines étapes. Le train, cependant, était complet et Entur, l’application pour voyager en Norvège, a suggéré le bateau. John a fait une recherche rapide et nous avons opté pour un bateau électrique qui est un mélange de croisière et de fret, entièrement détenu par une famille norvégienne et avec un équipage également norvégien.
Plus nous allons vers le nord, moins il y a de routes et le bateau est le meilleur et le plus rapide moyen pour ces petites villes et communautés d’être approvisionnées. Le navire s’arrête très régulièrement, parfois pour seulement 10 minutes, juste le temps de décharger/charger des personnes et des marchandises. Il a également fonctionné comme bateau postal jusqu’à ce que le service soit interrompu au début des années 1990 (idem pour le Hurtigruten).
Nous ne sommes pas des croisiéristes et, franchement, c’est plus notre idée d’une punition que de vacances, nous n’avons donc réservé que deux nuits, jusqu’à Tromsø.
En quittant le fjord de Trondheim, nous sommes passés devant ce phare, construit à la fin du 19ème siècle. Ceux-ci étaient gardés par des pêcheurs célibataires à la retraite. Pourtant, cet endroit a vu venir un homme avec sa famille (trois enfants), avec des enseignants occasionnels qui passaient ; Ils sont restés environ 20 ans. Il est difficile d’imaginer retourner à une vie sur le continent.